Spécial minceur et santé

Retrouver la ligne n’est pas toujours une mince affaire, c’est le cas de le dire. Avant tout, il s’agit de déterminer les raisons pour lesquelles les kilos se sont accumulés, les bourrelets et autres capitons disgracieux aussi. Il y a bien des facteurs qui entrent en jeu, des calories absorbées à la malbouffe sans oublier des aspects liés au stress et au sommeil… voici 15 pistes pour vous y retrouver, et surtout pour trouver des solutions qui peuvent vous aider.

1. Sucre raffiné : l’ennemi absolu

 Malheureusement, le sucre raffiné est l'ennemi de notre ligne. Pourtant, il est ce que l'on préfère. On le retrouve presque partout, mais si l'on veut se débarrasser de nos kilos en trop rapidement, il sera primordial de lui faire la guerre.

Car c’est un fait établi : nous consommons trop de sucre! Longtemps perçue comme un petit plaisir relativement inoffensif, cette douceur est de plus en plus pointée du doigt. Consommé en excès, le sucre contribue en effet à la prise de poids, et peut mener à l’obésité ainsi qu'aux maladies du métabolisme qui y sont associées, comme le diabète.

Les glucides, communément appelés sucres, sont une grande famille. Elle comprend notamment des molécules complexes comme l’amidon, qui constitue la principale source d’énergie de notre corps. Mais aussi des molécules plus simples comme le saccharose, le fructose et le glucose, qui sont aujourd’hui incriminées. Naturellement présents en petite quantité dans les fruits, certains légumes et dans le lait, ces sucres rapides sont largement ajoutés dans les produits transformés. Au hit-parade des « bombes » sucrées qui se cachent dans nos frigos et placards : les sodas (une canette standard équivaut à environ 9 morceaux de sucre), mais aussi les céréales du petit-déjeuner (constituées souvent de plus de 30% de sucres ajoutés), les yaourts aux fruits et autres desserts gourmands, les glaces, chocolats et friandises.

Notre conseil : pendant une semaine, tentez d’éliminer de votre alimentation tous les aliments contenant du sucre raffiné et vous verrez le résultat. En plus de perdre du poids, vous direz adieu à la fatigue, à la mauvaise humeur, aux boutons, et bonjour au teint frais et lumineux. Que demander de plus ?

2. Haro sur les plats industriels et la malbouffe

Les plats préparés industriels et la malbouffe (tous types de restauration rapide, barres chocolatées…) sont de plus en plus pointés du doigt. Trop gras, trop salés, trop sucrés, on leur reproche des « process food » qui augmentent le risque cardiovasculaire, le diabète, le surpoids et l’obésité. Rien d’étonnant à cela : la nourriture transformée utilise de nombreux additifs et la liste noire est longue avec les colorants, conservateurs, épaississants, stabilisants, exhausteurs de goût, émulsifiants, acidifiants, arômes … une vraie bombe chimique à retardement. Que savons-nous des effets secondaires et de la combinaison de certains d’entre eux sur notre santé ? D’autant que pour bon nombre d’entre nous, ces aliments ont une place bien trop grande dans notre alimentation.

Alors, que ce soit les fastfoods, les restaurants, les plats surgelés et toutes les autres préparations que vous n’aurez pas préparées vous-mêmes, si vous voulez garder ou retrouver la ligne (et bien sûr votre santé), il faudrait en consommer le moins possible. Car ne n’oubliez pas, outre la surcharge calorique pour la plupart d’entre eux, vous ne savez jamais réellement avec quels ingrédients (peu recommandables) ils sont faits.

3. Gare à certains produits laitiers

Si les yaourts nature - et surtout non allégés en matières grasses - sont excellents pour garder la ligne, en revanche certains produits laitiers comme le beurre et les fromages gras sont à consommer avec modération. Pire encore, les margarines et beurres allégés, qui sont de purs produits industriels et donc transformés, sont à éviter.

D’une manière générale, les produits laitiers feraient grossir car ils possèdent des graisses saturées et peu digestes en grande quantité.

4. Fromages : à petites doses

Les fromages, lorsqu'ils sont riches en matières grasses, ne conviennent pas aux personnes ayant un taux élevé de cholestérol ainsi que les personnes en surpoids. Fort heureusement, tous les fromages ne contiennent pas la même quantité de matière grasse et certains peuvent être consommés même lorsqu'on surveille son taux de 'mauvais' cholestérol. En revanche, certains fromages particulièrement riches en graisses saturées sont à éviter si on veut garder ou retrouver la ligne :

Le parmesan (20,6 grammes de graisses saturées pour 100 grammes).

Le gruyère (19,8 g de graisses saturées pour 100 g) 390 Kcal et environ 90 mg de cholestérol pour 100 g.

L’emmental (19,7 g pour 100 g).

Le cheddar (19,5 g pour 100 g).

L’appenzeller (19,2 g pour 100 g).

Le brie (16,3 g pour 100 g).

Et là encore, n’oubliez pas que le beurre, très bénéfique grâce à ses apports en vitamine A lorsqu’il est naturel, apporte en revanche 82% de graisses saturées. L’abus n’excluant pas l’usage, à utiliser pour le plaisir donc et en petites quantités.

5. Charcuteries : pied léger !

Comment résister à un joli pâté en croûte ? Pourtant, avec toutes les graisses saturées et le sodium qu’elle contient, la charcuterie favorise la prise de poids. Là encore, il s’agit d’en consommer de façon occasionnelle (non quotidienne) et de surcroît avec modération. Il n’est pas question de s’en priver totalement, à moins d’être végétarien ou vegan bien sûr.  

6. Apéritifs et alcools : le grand piège du quotidien 

Comme chacun sait, l’alcool s’avère dangereux lorsqu’il est consommé pendant plusieurs années en excès. Mais pas besoin d’en abuser pour s’exposer à une fragilité de la santé.

Pour le prouver, des chercheurs coréens n’ont pas fait les choses à moitié. L’équipe du Dr Hye Jung Shin a en effet analysé les données médicales de 26 millions d’adultes (14 millions d’hommes et 12 millions de femmes), entre 2015 et 2016.

Résultat : boire la moitié d’une dose standard d’alcool par jour (l’équivalent de 7 grammes pur d’alcool = un demi-verre de vin, 59 ml = une demi-bouteille de bière, 177,5 ml) expose les consommateurs :

- A l’obésité ;

- Au syndrome métabolique, caractérisé par un ensemble de troubles : surpoids, obésité, taux anomal du glucose sanguin ou du taux de graisses dans le sang, hypertension artérielle.

Dans le détail, comparés aux abstinents, les hommes consommant en moyenne la moitié d’une dose par jour avaient 10% de risque supplémentaire de souffrir d’obésité.

A deux verres par jour, cette donnée passe à 22% pour l’obésité, 25% pour le syndrome métabolique. Et respectivement, 34% et 42% chez les hommes buvant plus de deux verres par jour.

Les chiffres sont éloquents… prudence donc avec ce faux-ami, d’autant plus dangereux qu’il est synonyme de convivialité, de bons moments partagés, de fête, et qui plus est vendu en toute légalité. Là encore, tout l’enjeu est d’apprendre à séparer les occasions, grandes ou petites, du quotidien.

7. Et la friture ?

Vous vous doutez, les frites, les poissons frits et autres spécialités délicieuses certes, mais gorgées d’huile frite ou pire, de beurre frit sont à éviter autant que possible, dès lors que vous désirez perdre du poids ou conserver la ligne. Instants plaisir, occasions : oui bien sûr. Au quotidien : non, c’est non !

8. Pain blanc et viennoiseries

Si le pain a longtemps été considéré comme la base de toute alimentation dans notre bel hexagone, on sait désormais combien le pain élaboré à partir de farines blanches et raffinées peut faire grossir. En fait, il est chargé de ces fameux sucres invisibles qui nous piègent ! De plus, ces formes de gluten raffiné peuvent déclencher de sérieuses allergies ou pire le syndrome du côlon irritable. Dans tous les cas, ces calories sont souvent stockées et créent de l’embonpoint. Quant aux viennoiseries, faites-vous plaisir le dimanche matin lors d’un bon petit déjeuner cocooning, mais ne l’étendez pas aux autres jours de la semaine. Encore une fois, dès que les excès deviennent réguliers voire quotidien, le surpoids s’invite à bord.

9. Sédentarité ? A bannir !

Rester sans bouger devant un ordinateur ou devant une télévision, être assis pendant une grande partie de la journée, utiliser une voiture pour le moindre déplacement : une activité physique insuffisante correspond à une dépense énergétique tout aussi insuffisante.

Or c’est mathématique : le surpoids voire l’obésité étant dus à un déséquilibre entre le nombre de calories dépensées et le nombre de calories consommées, il est évident que la sédentarité, ou le manque d’activité physique, est une des premières causes de prise de poids avec toutes les conséquences que l’on sait sur le plan psychologique, sur l’estime de soi mais aussi bien entendu sur la santé dans son ensemble.

Donc, prenez conscience que faire un peu d’exercice chaque jour, et surtout sortir, marcher au moins 30 minutes est essentiel sur tous les plans. Cela est d’autant plus vrai si vous avez une vie sédentaire, si vous êtes en télétravail et devant un écran toute la journée. Attention, ce mal est silencieux et même si de nos jours il peut paraître normal de vivre ainsi, il n’en est rien ! Pensez au mode de vie de nos ancêtres et réalisez combien nous ne sommes pas faits pour vivre ainsi, que ce soit sur le plan mental, émotionnel ou physique.

10. No sport ?

La célèbre devise de Winston Churchill peut sans doute expliquer son tout aussi légendaire embonpoint. En effet, un des leviers essentiels pour éviter le surpoids et l’obésité est de pratiquer une activité physique régulière. Mais justement, le problème est que la plupart des personnes en surpoids ont tendance à rester figées, immobiles et à ne pratiquer aucune activité. Car des les cas extrêmes, ces personnes ont du mal à bouger, à s’extraire de leur lit ou se lever de leur canapé. Le moindre effort leur coûte tant… le cercle vicieux est puissant et difficile à désamorcer. Et pourtant, il faut absolument en sortir.

Mais heureusement, lorsqu’on parle d’activité physique régulière, il n’est pas forcément question d’une véritable activité sportive. La marche, le jardinage, le bricolage, prendre soin de sa maison, sont bel et bien des activités physiques et sont bénéfiques… à condition de pratiquer tous les jours.

Donc oui, Mister Churchill, vous étiez un grand homme. Mais non, sur ce point vous n’aviez pas raison.

 11. Stress : l’autre guet-apens

On ne le dira jamais assez : le stress, l'anxiété, les émotions négatives favorisent fortement la prise de poids. Soit parce qu'on mange trop, soit parce que notre corps se met dans un état de « gestion de crise » qui l'amène à stocker les calories, pour faire face à des dangers, qu’ils soient réels ou imaginés. Voici les mécanismes qui expliquent comment un excès de stress ou une mauvaise gestion de ses émotions conduisent au surpoids :

Produit par les glandes surrénales, le cortisol est l’hormone du réveil et de la mise en alerte. C’est lui qui permet la résistance aux stress de la vie. Si votre environnement vous stresse ou votre adaptabilité est en bout de course, vous produisez trop de cortisol, et cela signifie aussi prise de poids : l’organisme bascule en mode « danger, risque, famine » et met en réserve de l’énergie.

Le cortisol modifie le stockage du sucre, réduit la masse musculaire, modifie le stockage de l’eau et des fluides dans l’organisme. Il est directement lié à la prise de masse grasse au niveau de l’abdomen : il augmente le tour de taille, surtout chez les femmes.

Et il y a bien sûr un autre aspect, directement lié au stress et non des moindres : confrontés à des émotions difficiles à gérer ou en périodes de stress, nous avons tendance à compenser avec la nourriture. Soit en mangeant pour se remplir et ne plus penser ou en utilisant un aliment de réconfort, lié à notre enfance ou à des émotions positives ou des souvenirs heureux. Manger une friandise ou un aliment qu’on aime particulièrement permet de pallier temporairement à l’émotion négative et de produire un sentiment de bien-être, en particulier via une élévation de la sérotonine dans le cerveau, sous l'influence du sucré.

Alors que la faim physiologique apparaît lentement, se ressent plutôt dans le ventre (estomac qui gargouille), survient plusieurs heures après la dernière prise de nourriture et disparaît en mangeant, la faim psychologique apparaît soudainement, se ressent au niveau de la tête (avoir l’eau à la bouche), est indépendante de la dernière prise de nourriture et persiste malgré la satiété. Alors que satisfaire une faim physiologique entraîne un bien-être, manger en cas de faim psychologique provoque honte et culpabilité. Notamment parce qu’une prise de nourriture supplémentaire engendre automatiquement des kilos supplémentaires.

12. Sommeil : l’indispensable allié

Eh oui, on le sait aussi : le manque de sommeil est un facteur reconnu de prise de poids et un sérieux obstacle si on veut en perdre. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, on ne dépense pas plus de calories en restant éveillé qu’en dormant. Pourquoi ? Parce que moins dormir perturbe le métabolisme (c’est-à-dire la façon dont on brûle les calories) et pousse à manger davantage. La réciproque est-elle vraie ? Dormir plus longtemps permet-il de perdre du poids ?

Pour en avoir le cœur net, des chercheurs américains ont recruté 80 personnes en surpoids qui dormaient moins de 6 heures par nuit. À la moitié d’entre elles, ils ont prodigué des conseils personnalisés pour augmenter la durée de leur nuit. Il pouvait s’agir par exemple d’une réduction du temps d’écran avant le coucher. Leur étude a été publiée en février dans la revue Jama Internal Medecine. Au bout de 2 semaines, les personnes ainsi accompagnées dormaient effectivement 1 h 10 de plus par nuit !

Pendant ce temps, leurs apports énergétiques ont décru de 270 kcal par jour par rapport au groupe contrôle qui, lui, n’avait pas reçu de conseils et avait continué sur le rythme de nuits écourtées. Résultat chez les dormeurs : environ 500 g en moins sur la balance. Alors qu’à l’inverse, du côté des oiseaux de nuit, une prise de 400 g a été constatée.

Donc, si bien dormir est un gage de bonne santé  et d’une bonne vitalité, cela est tout aussi essentiel pour perdre les kilos en trop et éviter d’en perdre. C’est que l’on comprend mieux la réputation dont jouit le sommeil : le « meilleur des médecins ».

13. Faire le plein d’affection ?

Observez comme certaines personnes, au moment de la rencontre amoureuse et du début de la passion, cessent de s'alimenter. Leur appétit s'étiole, le stress et le désir mélangés semblent les combler… beaucoup perdent alors du poids. Cela est démontré : les neuromédiateurs secrétés à foison chez une personne amoureuse sont les mêmes que ceux déclenchés lorsque l'on se régale d'un bon repas. En revanche, lorsque l'insatisfaction s’installe dans le couple ou pire, lorsqu’il y a séparation, beaucoup entament des prises de poids. En clair, se sentir moins aimé, moins désirable, cela fait grossir. Et cela, de deux façons :

D’une part, parce que la frustration, le chagrin, le vide ressentis favorisent les fringales, les envies de sucres, de salé ou d’alcool ; autant de paramètres qui font « bondir » la balance.

D’autre part, car même lorsqu'il n'y a eu aucun changement dans la manière de s'alimenter, lorsque les apports caloriques n'ont pas varié, on voit bien qu’il y a « autre chose » qui fait grossir : en réalité le métabolisme des graisses change. Là encore, on se retrouve dans une logique de survie : comme la nourriture possède une charge affective, le corps « fait le plein » devant la peur et la sensation lancinante du manque.

En résumé, les raisons affectives qui occasionnent du surpoids sont complexe, l’intrication est grande. Aussi, avoir une vie de cœur heureuse, une sexualité épanouie et du bonheur à partager au quotidien sont autant d’aspects vitaux qui sous-tendent l’équilibre alimentaire et hormonal. Sans ces fondamentaux, tout devient difficile. Raison de plus pour choyer l’équilibre affectif et la joie de vivre partagée.

14. Des solutions naturelles

Heureusement, il existe aussi de nouvelles solutions naturelles qui agissent de façon efficace sur les kilos et les centimètres en trop. Des solutions d’autant plus intéressantes qu’elles agissent simultanément sur deux tableaux : l’appétit, les fringales mais aussi le métabolisme des graisses. Leur efficacité n’en est évidemment que meilleure, avec des résultats qui ont d’ores et déjà conquis de très nombreuses personnes… regardez :

15. Piment : la grande découverte

Piment capsicumC’est une découverte majeure de la science : grâce au piment capsicum annuum, notre corps serait capable de brûler davantage de graisses et ce sans effort. Cette propriété lui vient de la capsaïcine, molécule du piment, qui donne l’effet chauffant et brûlant. Le plus étonnant est que la capsaïcine permet au corps de transformer les graisses blanches de stockage (celles que l'on n'arrive pas à éliminer) en graisses brunes qui elles sont brûlées et transformées en énergie : c'est la thermogenèse, réactivée par la précieuse molécule active du piment. Ainsi, en augmentant le volume de cellules brunes par rapport aux cellules blanches, la thermogénèse augmente, ce qui facilite la combustion de ces graisses et donc l'amincissement.

Car si malgré tous vos efforts, non seulement vous ne mincissez pas mais au contraire vous continuez à prendre du poids, cela provient peut-être aussi d’un problème de thermogenèse. De quoi s’agit-il ?

La thermogenèse est le phénomène naturel qui transforme les graisses blanches (celles qui font grossir) en graisses brunes (celles qui sont brûlées et éliminées). Or selon une étude menée à l'Université du Wyoming aux USA, la capsaïcine, substance naturelle présente en grande quantité dans le piment capsicum annuum, aide à relancer la thermogenèse, aidant ainsi à brûler les graisses de réserve, à mincir.

Voilà pourquoi nous vous proposons de découvrir la toute nouvelle formule Capsiplus. A base de piment capsicum annuum et de thé vert, elle agit de façon naturelle et puissante sur votre thermogénèse et vous aide ainsi à mincir sans modifier vos habitudes, sans présenter d’effet indésirable sur votre santé et votre confort. Découvrez-la maintenant en cliquant ici.